Combien de fois vous êtes-vous demandé si vous pouviez utiliser sur votre site Web, dans un document ou dans une activité d’apprentissage l’image que vous veniez de trouver en ligne ou si elle était protégée par un droit d’auteur quelconque?
Lorsque vous trouvez une image en ligne, vous devriez toujours supposer qu’elle est protégée par le droit d’auteur et toujours chercher de l’information sur quand et comment vous pouvez l’utiliser. Voilà où il peut être utile de connaître et de comprendre les licences Creative Commons.
Creative Commons (CC), c’est :
Faciles à reconnaître grâce à leurs codes et leurs symboles propres, les licences CC offrent à tous une façon simple et normalisée de conserver leur droit d’auteur tout en permettant aux gens de reproduire et de distribuer leur œuvre à condition de citer leur nom – et de respecter les conditions précisées.
Chaque licence aide les créateurs (appelés titulaires de droits s’ils utilisent des outils de CC) à faire ce qui suit :
Voici un lien vers une liste de facteurs à considérer avant d’octroyer des licences (en anglais seulement).
Types de licences
1. Attribution
(Attribution)
CC BY
Cette licence permet aux autres de distribuer, remixer, arranger et adapter votre œuvre, même à des fins commerciales, tant qu’on vous accorde le mérite de la création originale en citant votre nom. C’est le contrat le plus souple proposé. Recommandé pour la diffusion et l’utilisation maximales d’œuvres licenciées sous CC.
2. Attribution – Pas de modification
(Attribution – NoDerivs)
CC BY-ND
Cette licence autorise la redistribution, à des fins commerciales ou non, tant que l’œuvre est diffusée sans modification et dans son intégralité, avec attribution et citation de votre nom.
3. Attribution – Partage dans les mêmes conditions
(Attribution – ShareAlike)
CC BY-SA
Cette licence permet aux autres de remixer, arranger, et adapter votre œuvre, même à des fins commerciales, tant qu’on vous accorde le mérite en citant votre nom et qu’on diffuse les nouvelles créations selon des conditions identiques. Cette licence est souvent comparée aux licences de logiciels libres, “open source” ou “copyleft”. Toutes les nouvelles œuvres basées sur les vôtres auront la même licence, et toute œuvre dérivée pourra être utilisée même à des fins commerciales. C’est la licence utilisée par Wikipédia; elle est recommandée pour des œuvres qui pourraient bénéficier de l’incorporation de contenu depuis Wikipédia et d’autres projets sous licence similaire.
4. Attribution – Pas d’utilisation commerciale
(Attribution – NonCommercial)
CC BY-NC
Cette licence permet aux autres de remixer, arranger, et adapter votre œuvre à des fins non commerciales et, bien que les nouvelles œuvres doivent vous créditer en citant votre nom et ne pas constituer une utilisation commerciale, elles n’ont pas à être diffusées selon les mêmes conditions.
5. Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions
(Attribution-NonCommercial-ShareAlike)
CC BY-NC-SA
Cette licence permet aux autres de remixer, arranger, et adapter votre œuvre à des fins non commerciales tant qu’on vous crédite en citant votre nom et que les nouvelles œuvres sont diffusées selon les mêmes conditions.
6. Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Pas de modification
(Attribution-NonCommercial-NoDerivs)
CC BY-NC-ND
Cette licence est la plus restrictive des six licences principales, n’autorisant les autres qu’à télécharger vos œuvres et à les partager tant qu’on vous crédite en citant votre nom, mais on ne peut les modifier de quelque façon que ce soit ni les utiliser à des fins commerciales.
Cliquez ici pour en apprendre davantage sur les six licences.
Le sélectionneur de licence permet aux créateurs d’identifier rapidement la licence qui leur convient.
Le concept d’« une image vaut mille mots » est très bien connu dans le milieu de l’alphabétisation, et nous utilisons souvent des images pour communiquer des idées ou des messages précis aux personnes apprenantes, à des collègues et à la collectivité.
Le fait de connaître et de comprendre les licences et de veiller à ce que les images et le reste du contenu soient utilisés selon les conditions établies par les auteurs (il suffit souvent de simplement mentionner l’auteur) non seulement facilite la tâche des formateurs et formatrices pour trouver et utiliser du contenu précis, mais les met aussi à l’aise en veillant à ce qu’ils ne violent pas le droit d’auteur – même si c’est sans le vouloir ou sans le savoir.
Saviez-vous que ces licences s’appliquent aussi à divers rapports et documents? Par exemple, nous avons commencé à ajouter les licences Creative Commons aux rapports que nous publions à AlphaPlus pour clarifier la façon dont le public peut les partager, les utiliser et les adapter.
Il est bon aussi d’enseigner le droit d’auteur et les licences Creative Commons et d’en discuter avec les personnes apprenantes pour veiller à ce qu’elles sachent comment elles peuvent utiliser les images et d’autre contenu qu’elles trouvent en ligne.
Si vous cherchez du matériel offert sous une licence Creative Commons, CC Search est un bon endroit où commencer. CC tient aussi un répertoire (en anglais seulement) des organisations et des personnes qui utilisent des licences CC. Certains sites de médias sociaux, comme Flickr, ont des filtres de recherche permettant de trouver du matériel licencié sous CC. Il est à noter que vous ne devriez pas supposer que vos résultats de recherche contiennent uniquement des œuvres offertes sous une licence CC. Vous devriez vérifier pour vous assurer que les œuvres que vous comptez utiliser sont régies par une licence CC.
Certains moteurs de recherche (comme Google) vous permettent de filtrer vos résultats de recherche selon les droits d’utilisation pour que vous puissiez limiter vos résultats en fonction de la licence CC précise que vous recherchez. Par exemple, si vous cherchez une photo à adapter, vous pouvez filtrer vos résultats de façon à retourner des photos qui ont une licence CC autorisant la création d’adaptations. Vous trouverez généralement cette fonction de recherche sur la page de recherche avancée du moteur de recherche choisi. Vous pouvez aussi utiliser CC Search, qui offre une interface de recherche conviviale et une liste de fournisseurs de contenu qui prennent en charge les recherches de contenu fondées sur les droits d’utilisation.
À propos des licences (Creative Commons)
CC Search (Creative Commons)
Creative Commons Canada (Creative Commons)
Considerations for licensors and licensees (Creative Commons wiki)
Explorer les licences Creative Commons – pour sélectionner une licence – (Creative Commons)
Licence Creative Commons (Wikipédia)
Vos noms d’utilisateur et vos mots de passe vous donnent accès à tout, de vos comptes de courriel à vos comptes bancaires en passant par vos outils et sites Web de réseautage social préférés.
Les mots de passe vous donnent beaucoup de pouvoir et de contrôle, c’est pourquoi il est important de les protéger.
Malheureusement, on se rend souvent compte que les mots de passe sont les maillons faibles de la chaîne de sécurité. Il peut être difficile de se souvenir d’un grand nombre de mots de passe, et les comptes sont souvent compromis parce que les gens utilisent des mots de passe faibles, utilisent le même mot de passe sur plusieurs sites, ou disent leur mot de passe à une personne qui n’est pas fiable.
Pour commencer, visionnez le vidéo Les mots de passe sécurisés de Pensez cybersécurité du gouvernement du Canada.
Est-ce que votre mot de passe sur un site Web quelconque est « password »? Ou pourquoi pas « 123456 » ou « qwerty »? Ce sont les trois mots de passe les plus fréquents. Il y a des milliers de mots de passe courants que les gens utilisent régulièrement. Les cybercriminels le savent et en profitent pour prendre des adresses courriel et des mots de passe et essayer de se connecter à des comptes au hasard sur les sites Web les plus populaires.
Voici des mots de passe à éviter :
Alors, à quoi devrait ressembler un bon mot de passe?
Clés de la force des mots de passe : longueur et complexité
La création d’un mot de passe long et complexe peut s’effectuer de plusieurs façons. Voici quelques suggestions susceptibles de vous aider à vous en souvenir plus facilement :
Que faire? | Suggestion | Exemple |
Commencez par une phrase ou deux. Ça pourrait aussi être les vers d’un poème (environ 10 mots en tout). | Pensez à des phrases qui sont importantes pour vous. | « Les mots de passe complexes sont plus sûrs. Gardez-les secrets. » (11 mots) |
Transformez vos phrases en une suite de lettres. | Utilisez la première lettre de chaque mot. | lmdpcspsgls (11 caractères) |
Ajoutez de la complexité. | Mettez seulement les lettres de la première moitié de l’alphabet (de A à M) en majuscule. | LMDpCspsGLs (11 caractères) |
Rallongez le mot de passe avec des chiffres. | Mettez deux chiffres qui veulent dire quelque chose pour vous entre les deux phrases. | LMDpCsps31GLs (13 caractères) |
Rallongez-le avec de la ponctuation. | Mettez un signe de ponctuation au début. | ?LMDpCsps31GLs (14 caractères) |
Rallongez-le avec des symboles. | Mettez un symbole à la fin. | ?LMDpCsps31GLs” (15 caractères) |
Le compte le plus important d’entre tous
Savez-vous lequel de vos comptes en ligne est le plus important? C’est votre compte de courriel.
On s’en sert souvent pour créer d’autres comptes et s’y connecter, ainsi que pour réinitialiser des mots de passe. Si une personne mal intentionnée avait accès à votre compte de courriel, elle pourrait demander tous vos mots de passe, les obtenir en regardant vos courriels et avoir accès à tous vos comptes. Voilà pourquoi il est crucial que votre compte de courriel ait un mot de passe fort et unique que vous n’utilisez nulle part ailleurs. Et vous devriez probablement le changer souvent.
Vous devriez écrire votre mot de passe et le cacher quelque part
Il peut être bon d’écrire vos mots de passe et de les conserver hors ligne. Les cybercriminels ne peuvent pas sortir de votre écran et commencer à fouiller sur votre bureau. Par contre, ils pourraient, éventuellement, accéder aux fichiers sur votre ordinateur. Alors, si vous enregistrez vos mots de passe dans un fichier sur votre ordinateur, veillez à qu’il s’agisse d’un fichier chiffré et protégé.
Outils à utiliser pour vous aider à retenir vos mots de passe :
Il y a beaucoup d’outils qui vous permettent de stocker vos mots de passe dans un endroit sûr et d’y accéder avec un code ou un mot de passe maître :
Attention aux connexions sans fil et aux ordinateurs publics
Si vous voyagez, il pourrait vous arriver d’utiliser des réseaux sans fil dans des hôtels, des aéroports, des centres de conférences ou même des cafés. Pour être tranquille, faites comme si tous les sites étaient non protégés, à moins que vous soyez sur un site Web avec une adresse https. Cherchez le « s » à la fin de https. Beaucoup de sites Web offrent des versions sécurisées et non sécurisées. Par exemple, vous pouvez vous rendre à l’adresse http://gmail.com ou https://gmail.com. Utilisez toujours la version https.
Encore plus risqué que d’utiliser un réseau sans fil public est d’utiliser un ordinateur public. Tout ordinateur qui ne vous appartient pas pourrait avoir un logiciel de détection des touches d’installé, par exemple. Alors, même si vous vous connectez sur un site Web sécurisé avec un mot de passe fort, les caractères que vous tapez pourraient être enregistrés et envoyés à quelqu’un – même les caractères de votre mot de passe. Même si l’ordinateur n’est pas compromis ainsi, les noms d’utilisateur et mots de passe pourraient simplement être enregistrés dans le navigateur. Se déconnecter de son compte à la fin et effacer les cookies et la mémoire cache du navigateur est une bonne protection, mais ce n’est pas parfait. Si vous devez absolument utiliser un ordinateur public, songez à changer votre mot de passe lorsque vous avez terminé et à suivre vos comptes de près pour vous assurer que rien n’a été compromis.
Sources utilisées pour le contenu de cet article :
http://macmost.com/online-password-security.html
http://www.microsoft.com/fr-fr/security/online-privacy/passwords-create.aspx
Reconnaissance du droit d’auteur pour l’image utilisée dans cet article :
Par SBSHSoftware (Own work) [CC-BY-SA-3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)], via Wikimedia Commons
Ce site donne accès à des vidéos de la Khan Academy en version française. Les vidéos portent sur l’arithmétique, la préalgèbre et la géométrie. Bibliothèques sans frontières s’est associée avec la Khan Academy pour diffuser le contenu gratuitement. On y trouve d’excellentes vidéos qui peuvent convenir à des niveaux débutants ainsi qu’à des niveaux plus avancés.
La narration ou l’écriture de récits ont été utilisées depuis longtemps comme outil d’apprentissage. Avec l’arrivée de la technologie, il est maintenant possible de réaliser le même exercice tout en se familiarisant avec certains outils numériques.
Dans la création d’un récit numérique, on raconte une histoire avec l’aide de technologies. Le récit numérique peut contenir des photos, des vidéos, de la musique et la narration enregistrée.
Les sujets abordés dans les récits numériques sont variés; on peut par exemple relater un événement personnel, raconter un fait historique, présenter un événement d’actualité ou encore parler de notre communauté. Ce qu’on remarque dans les récits numériques, c’est la présence d’un point de vue personnel.
Avec le récit numérique, les apprenants en formation de base peuvent développer certaines compétences telles que :
1. Écrire le texte : Une fois le sujet du récit choisi, la première étape consiste à en écrire le texte. Il s’agit d’une première version. Le texte pourra changer avec l’ajout des photos. Pour aider à planifier le texte et les images, on peut utiliser un modèle de scénarimage (exemple).
2. Choisir des photos : À la deuxième étape, on doit trouver des photos qui vont accompagner le texte.
3. Joindre texte et images : La troisième étape consiste à assembler le texte et les images. On peut choisir des logiciels courants comme Microsoft Word ou PowerPoint si on prévoit seulement avoir du texte et des images. Si l’on pense à enregistrer sa voix ou à ajouter de la musique, on devra utiliser un logiciel qui le permet, comme Photorécit (voir d’autres exemple plus bas). À cette étape-ci, on peut décider de faire des changements au texte ou encore modifier l’ordre des photos.
4. Ajouter le son : Une fois les dernières décisions prises concernant les images et le texte, on peut enregistrer la voix si on le désire et ajouter de la musique (dans un logiciel d’édition de vidéos).
5. Présenter le produit final : Il s’agit évidemment de partager notre récit avec un auditoire. On peut le présenter à un petit groupe; on peut également le téléverser sur un site web comme YouTube pour le rendre disponible à un plus large public.
À noter :
Camtasia – Techsmith (pour créer une vidéo à partir d’une présentation PowerPoint)
iMovie – Apple
Movie Maker – Microsoft
Center for Digital Storytelling
Digital storytelling (University of Houston)
Digital storytelling : a great way to engage and inspire learners (NWT Literacy Council)
Photo commentée pour anglais langue seconde (Congrès de l’AQIFGA 2010)
Le récit numérique : créer pour apprendre à tous les niveaux, pour toutes les matières (École branchée)
Un regard sur mon cartier (PDF) (Tour de lire)
Toute une histoire : créer un récit numérique (PDF) (Histoires de vie Montréal)
Reconnaissance du droit d’auteur pour les images utilisées dans cet article :
Première image : Par The Land (Own work) [CC-BY-SA-3.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)], via Wikimedia Commons
Deuxième image : Par Knight Foundation (Knight-Crane Convergence Lab) [CC-BY-SA-2.0 (http://creativecommons.org/licenses/by-sa/2.0)], via Wikimedia Commons
Que ce soit pour des usages personnels ou pour le travail, les tablettes électroniques prennent de plus en plus de place. Avec leur interface simple et intuitive, elles offrent beaucoup de possibilités pour le travail, à la maison et même en éducation des adultes.
La tablette fait partie de la famille des appareils mobiles, tout comme les téléphones cellulaires. Elle est plus petite qu’un ordinateur portable et est dotée d’un écran tactile. Elle est connectée à l’Internet à partir d’un réseau sans fil.
La tablette électronique offre beaucoup de possibilités. Elle permet, entre autres, de :
Étant donné que la tablette n’a pas à être confinée au laboratoire d’informatique, elle peut s’intégrer à différents lieux et contextes : la classe, le bureau, la maison, etc.
Étant légère, relativement facile à utiliser et mobile, la tablette électronique permet de renouveler la façon dont les technologies de l’information et des communications sont utilisées dans la classe. Pour les apprenants adultes qui se méfient des ordinateurs et de la technologie, la tablette électronique peut servir d’un bon moyen d’initiation.
Dans une classe de formation des adultes, on peut, par exemple, utiliser les tablettes électroniques pour :
Vous trouverez des applications distribuées sur différents sites, par exemple :
App Store (iPad)
Google play (Nexus)
Recommandations d’applications pour les tablettes par le Centre FORA
Applications utiles à l’enseignement par Éduscol
Le potentiel pédagogique de 190 applications iPad par la Commission scolaire des Affluents
Skitch, pour faire des annotations sur des images
Keynote, pour faire des présentations
Pages, outil de traitement de texte
Notability, pour prendre des notes
Évaluation des tablettes interactives (Philippe Landry, Coalition ontarienne de formation des adultes), p.8
iPad en classe : Des conditions de succès pour initier un réel changement, (Audrey Miller, Infobourg)
Un modèle d’utilisation des tablettes en classe : le chariot (Audrey Miller, Infobourg)
Retour des expérimentations tablettes tactiles (Éduscol)
Tablette tactile et enseignement : Applications utiles à l’enseignement (Éduscol)
Tablette tactile et enseignement : la créativité avec une tablette (Sébastien Verbert, Éducation tablette-tactile.net)
Article qui vise à aider les enseignants à comprendre ce que la nouvelle Loi sur le droit d’auteur leur permet de faire en classe. Il présente aussi quelques exceptions et fournit des conseils généraux sur les bonnes pratiques d’utilisation des produits médiatiques dans le cadre de l’éducation aux médias.
http://habilomedias.ca/propriete-intellectuelle/utilisation-equitable-education-medias
Nous venons d’ajouter un tutoriel vidéo à la « Boîte à outils pour évaluer et partager des ressources en ligne ». Ce tutoriel explique comment s’inscrire à Diigo, l’outil de partage de signets, et comment se joindre au groupe d’intérêt Ressources d’apprentissage en littératie des adultes.
Vous êtes invités à vous joindre à ce groupe pour partager vos trouvailles et prendre connaissance des ressources que vos collègues utilisent.
Vous trouverez le tutoriel dans la Boîte à outils, sous l’onglet Partager ses trouvailles > Tutoriel vidéo
Ce dossier, sous forme de diapositives, propose aux formateurs une méthode et de nombreux conseils pour faire une recherche de ressources sur Internet.
Trouver des ressources sur Internet
Ce projet d’essai web, produit par l’ONF, présente le témoignage de trois personnes analphabètes qui dévoilent la réalité quotidienne de ceux qui ne savent ni lire ni écrire. Ces témoignages amènent à réfléchir sur les impacts de l’analphabétisme sur la société.
Des maux illisibles : un essai Web sur l’analphabétisme
Documents Google, une suite de logiciels en ligne et un service de conservation des données, offert gratuitement par Google, inclut Formulaires – un outil qui permet aux usagers de créer et d’administrer rapidement des sondages simples, des abonnements, des tests ou des questionnaires.
Avec 97 thèmes que l’on peut appliquer rapidement au formulaire et sept types de questions parmi lesquels choisir, Formulaires peut être un excellent outil à utiliser pour créer des questionnaires, organiser des concours, gérer des inscriptions ou obtenir de la rétroaction. Les étudiants peuvent également pratiquer leurs compétences en informatique en apprenant à remplir les divers formulaires et en créant rapidement leurs propres sondages ou questionnaires dans le cadre d’un devoir ou d’un projet.
Il est possible de personnaliser le message de confirmation qui apparaîtra une fois le formulaire complété et de décider si les participants pourront ou non voir les résultats des autres participants. C’est ensuite possible de transmettre le formulaire aux participants par courriel, obtenir un lien vers le formulaire ou encore un code HTML qui permet d’insérer le formulaire directement dans une page Web ou un billet de blogue. Il est aussi possible d’avoir plusieurs administrateurs du formulaire et de contrôler si le formulaire sera visible à tous, à ceux qui ont un lien ou s’il demeurera privé.
Un aspect particulièrement intéressant de Formulaires de Google est la capacité de recevoir et de voir immédiatement les réponses au formulaire dans une feuille de calcul liée au formulaire. Il n’est pas nécessaire d’exporter ou de formater les réponses. Elles sont automatiquement ajoutées et organisées par question. De plus, une fonction d’horodatage fait apparaître automatiquement le temps où chaque entrée est faite. La feuille de calcul peut être utilisée directement en ligne ou téléchargée en format Excel, Open Office, PDF ou même en format texte.
D’un seul clic, il est aussi possible de voir un résultat sommaire avec graphiques ou tableaux automatiquement générés par Formulaires de Google.
Formulaires de Google n’a pas toutes les fonctionnalités disponibles sur Survey Monkey mais c’est un excellent outil pour créer de façon simple et rapide des inscriptions, des sondages ou des tests et pour rassembler l’information dans une feuille de calcul.